Veille Technologique#

Qu’est-ce que la veille technologique ?

La veille technologique ou veille scientifique et technique consiste à s’informer de façon systématique sur les techniques les plus récentes et surtout sur leur mise à disposition commerciale (ce qui constitue la différence entre la technique et la technologique).

Cette activité met en œuvre des techniques d’acquisition, de stockage et d’analyse d’informations et leur distribution automatique aux différentes sections concernées de l’entreprise, à la manière d’une revue de presse. Ces informations peuvent concerner une matière première, un produit, un composant, un procédé, l’état de l’art et l’évolution de l’environnement scientifique, technique, industriel ou commercial de l’entreprise.

Elle permet aux bureaux d’études d’être informés des baisses possibles de coût ou d’augmentation de qualité dans le cadre de l’analyse de la valeur. L’entité de production connaît mieux grâce à elle ses limites de production et sa concurrence future.

Les principaux outils de ma veille#

Documentation en ligne, reportages, articles, utilisation de différents logiciels libres

Sujet de ma veille#

Au cours de mes années de BTS, et plus particulièrement au sein de mon entreprise “Mazars” j’ai pu manipuler bon nombre de logiciels libres.

J’en ai alors compris toute la valeur et ai décidé d’en faire le sujet de ma veille technologique.

En effet les logiciels libres sont porteurs de valeurs et de principes qui me tiennent particulièrement à coeur. Et il me semble important d’en parler d’avantage et d’en exposer les problèmatiques.

Un logiciel libre est un logiciel dont l’utilisation, l’étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l’utilisateur et la possibilité de partage entre individus.

L’histoire du logiciel libre#

À l’époque des premiers ordinateurs, c’était le matériel informatique qui était censé constituer la source de revenus, le logiciel n’étant qu’un moyen d’en faciliter la vente. L’accès au code source était normal, car nul n’achetait un ordinateur sans disposer d’une équipe de programmeurs. Bien avant même la création d’Unix, les milieux professionnels et universitaires s’échangeaient volontiers logiciels et codes sources, et les constructeurs cédaient le leur pour rien jusqu’à ce que les lois antitrust ne le leur interdisent afin de permettre l’exercice d’une concurrence dans ce domaine. En effet, jusqu’aux années 1970, il n’était pas encore tout à fait clair que le droit d’auteur s’applique aux logiciels.

La notion de logiciel libre est décrite pour la première fois dans la première moitié des années 1980 par Richard Stallman qui l’a ensuite avec d’autres formalisée et popularisée avec le projet GNU et la Free Software Foundation (FSF).

Au début des années 1990 la majorité du système GNU était fonctionnelle, seul le noyau manquait. Le noyau est la partie d’un système d’exploitation qui communique avec le matériel et alloue les ressources aux autres programmes.

C’est en 1991 que Linus Torvalds, un étudiant finlandais, écrit son propre noyau, puis le publie un peu plus tard sous licence GPL. Son noyau, nommé Linux, associé aux logiciels GNU précédemment développés, permettait alors de former un système d’exploitation complètement libre et pleinement utilisable.

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